Las referencias históricas de la época soviética y su tratamiento en la traducción: el caso de Svetlana Aleksiévich
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Résumé
En el presente artículo, analizamos cómo varios traductores a idiomas europeos abordan la traducción de las referencias históricas de la época soviética, presentes en Vremja sekond hènd (El fin del «Homo sovieticus»), una obra literaria de Svetlana Aleksiévich. El abismo entre la cultura rusa y las de los países occidentales hace que gran cantidad de las referencias al pasado de la URSS resulte opaca para el público lector del Oeste. Debido a reiteradas apariciones de estas en la obra objeto de estudio, los traductores se ven obligados a decidir qué procedimientos de traducción pueden emplear para transmitir el significado de dichas referencias, en qué casos tienen que conservarlas tal cual y hasta qué punto necesitan acercar el texto al lector. Con el fin de detectar posibles dificultades a la hora de traducir elementos propios de la historia soviética y ejemplificar las estrategias aplicadas, estudiamos el trasvase del texto original ruso a cuatro idiomas: francés, portugués, español e inglés. Tras clasificar las referencias históricas y contrastar su tratamiento en el corpus, podemos concluir que la selección de los procedimientos de traducción varía no solo en función de la referencia en cuestión y el contexto en el que figura, sino también en función del género al que el traductor y la editorial atribuyen la obra.
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