"Un no sé qué que quedan balbuciendo" o los límites de la traducción
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Résumé
La mejor traducción de un verso no necesariamente es la que más se acerca por lengua o cultura al original. En las páginas que siguen proponemos cuatro traducciones de un verso de San Juan de la Cruz perteneciente al Cántico Espiritual y comprobaremos que la traducción alemana respeta tanto el sentido del poeta como los efectos comunicativos que el verso provoca en el lector.
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Comment citer
MIALDEA BAENA, A. J. (2003). "Un no sé qué que quedan balbuciendo" o los límites de la traducción. Hikma, 2(2), 97–105. https://doi.org/10.21071/hikma.v2i2.6764
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